Les trois CIQ du Pont de l’Arc

MOBILISÉS POUR UN QUARTIER VERT ET APAISÉ

Le quartier administratif du Pont de l’Arc qui compte environ 15 000 habitants d’après le recensement de 2015 (soit environ 10% de la population aixoise), est représenté par trois CIQ qui se partagent son territoire :
• Le CIQ Pigonnet-Beauvalle au Nord-Ouest
• Le CIQ des Facultés au Nord-Est
• Le CIQ du Pont de l’Arc au Sud où se situe la centralité du quartier (Mairie annexe, poste, commerces et services).

Les limites territoriales entre nos trois CIQ suivent naturellement le lit du fleuve Arc, mais sont également dictées par deux axes routiers majeurs qui fragmentent le quartier contre-nature : l’autoroute A8 (axe Est-Ouest) et l’avenue Brossolette prolongée par la RD8N (axe Nord-Sud).

Pour réduire cette fracture routière qui remonte à 1970 lors la percée de l’autoroute, nos trois CIQ sont convaincus que la priorité actuelle est de recoudre le quartier au-dessus de l’A8 et de mettre en œuvre « la ville du quart d’heure » vantée par la municipalité en privilégiant les mobilités douces et les transports en commun aux dépens de l’emprise automobile.

Animés par cette exigence d’un cadre de vie répondant aux défis de notre temps, nos trois CIQ œuvrent en étroite collaboration et se réunissent chaque mois afin que les aspirations de nos adhérents et concitoyens soient mieux exprimées et entendues par la Ville.

Objectif : échanger sur nos principaux dossiers et sujets de préoccupation communs :
• le projet de réaménagement du diffuseur de l’A8-Pont de l’Arc (bretelles 30, 30a et 30b) et du rond-point de la 4? région aérienne. Nos trois CIQ et les riverains ont émis de fortes critiques sur l’avant-projet présenté en réunion d’information publique du 3 octobre 2023 et réclament une vraie concertation pour une refonte du projet.
• le projet de bretelle A8/A51 que nous rejetons par manque de justifications,
• le projet de raccordement entre la D8 et la D9 dite route de la Félicité (demandée et prévue de longue date entre Grassi et l’Hôpital Privé de Provence) dont nous souhaitons accélérer la réalisation.
• les berges du fleuve de l’Arc que nous aimerions voir aménagées dans le prolongement de l’actuelle promenade de l’Arc jusqu’aux Milles.

Bilan au terme de cette année de travail, ponctuée par différents rendez-vous avec élus, services municipaux (conseils de quartier, réunions avec l’élu de quartier et les services municipaux, réunion publique d’information sur le projet d’échangeur de Pont de l’Arc) : la concertation annoncée n’est pas au rendez-vous.


Dossiers et sujets de préoccupation communs

Analyses et propositions de nos 3 CIQ :


PROJET DE REQUALIFICATION DU DIFFUSEUR A8-PONT DE L’ARC ET DU ROND-POINT DE LA 4ÈME RÉGION AÉRIENNE

Le projet présenté par la ville lors de la réunion publique d’information du 3 octobre 2023, tant le scénario 1 dit Giratoire que le scénario 2 dit Feux, est rejeté en l’état par nos 3 CIQ qui ont exprimé en réunion et préalablement en maintes occasions leurs critiques motivées et leurs légitimes attentes auprès des élus et des services, à l’unisson des riverains qui ont collectivement manifesté leur mécontentement au cours de cette même réunion publique.

Le diffuseur actuel, en service depuis 1970, fonctionne avec un tourne-à-gauche sur le pont vers l’entrée 30 et deux ronds-points symétriques qui ont remplacé les carrefours d’origine en 1988 (voir photo aérienne).
Ce dispositif historique a le mérite d’équilibrer la charge de trafic de part et d’autre de l’autoroute et surtout de contenir le flux de retournement de l’A8 dans l’emprise autoroutière appartenant à l’État, situation normale, car le trafic intra-autoroutier (fonction d’échangeur entre l’A8 et l’A51) doit rester dans l’aire autoroutière et ne pas s’étendre dans la ville.

Le scénario 1-Giratoire bouleverserait totalement la géométrie du diffuseur actuel en supprimant le giratoire Sud ainsi que le tourne-à-gauche sur le pont vers l’entrée 30 avec pour conséquence de déporter l’échangeur dans la ville et de transférer l’essentiel du trafic sur le Rond-point de la 4? Région Aérienne qui deviendrait la plaque tournante obligatoire du dispositif.

Cela revient à transplanter un nœud autoroutier dans le cœur du quartier historique des Fenouillères (Pigonnet-Facultés), pourtant urbanisé depuis l’immédiate après-guerre, bien avant l’arrivée de l’autoroute, et ce n’est assurément pas sa vocation.
Rappelons qu’à la création de ce rond-point à la fin des années 80, celui-ci était orné d’une fontaine monumentale composant une entrée de ville majestueuse, aujourd’hui disparue. Cette perte regrettable n’est pas une raison pour dégrader davantage le cadre de vie en lui substituant à présent un nœud autoroutier insensé qui renvoie à une époque révolue, celle du tout-voiture !

Dans ce projet, le giratoire Nord deviendrait un passage obligé, car la plupart des flux, même ceux abondants provenant du Sud à destination du Sud (En provenance de l’avenue Arc de Meyran-Parking Relais Krypton vers Pont de l’Arc-HPP-Luynes-Les Milles) seraient contraints de remonter au Nord, de franchir le pont et d’emprunter le giratoire Nord pour se rediriger vers le Sud… c’est un effet pervers du projet qui n’est pas rationnel et assurément contre productif sur le bilan carbone de l’ouvrage, en contradiction avec les bonnes résolutions de la loi climat et résilience !

La charge supplémentaire de trafic du rond-point s’établirait d’après les données fournies à 400 véhicules/heure aux heures d’affluence.
Sachant que la charge actuelle du giratoire est de l’ordre 3000 véhicules/heure, c’est une hausse de trafic de plus de 13%, et probablement davantage, qui est redoutée sur le rond-point déjà thrombosé.
Pour absorber ce surcroît de circulation, le projet prévoit d’augmenter considérablement le gabarit du rond-point et de lui adjoindre deux voies filantes dont la conséquence est un doublement des surfaces asphaltées et imperméabilisées (de l’ordre de 800 m²) en plein cœur du quartier.
Le visuel comparatif ci-dessus met bien en évidence l’hypertrophie des voiries du projet au détriment des espaces naturels et la pénétration du nœud autoroutier dans le quartier qui est pourtant fortement peuplé (bassin de vie de 2000 personnes dans un petit périmètre autour du Rond-point de la 4? RA).
C’est bien là une des aberrations de ce projet : l’absence d’étude d’impact environnemental et humain, de prise en compte du cadre de vie des riverains, de l’impact sanitaire sur la population, dont 120 écoliers et 800 étudiants, en termes de nuisances sonores, de pollution de l’air, de hausse des températures par la création d’un îlot de chaleur, etc.

Autre aspect préoccupant, les conséquences pénalisantes du projet pour les modes actifs, piétons et cyclistes. Le visuel suivant est édifiant à ce sujet :

L’hypertrophie du rond-point et des voies adjacentes aura pour conséquence de créer un passage piéton hors normes franchissant six voies routières plus une double piste cyclable sur une distance de 30 mètres.
C’est un passage piéton à haut risque pour l’usager lambda, mais infranchissable pour une famille avec enfants, une personne âgée et à mobilité réduite !
En outre, cette traversée piétonne est rendue obligatoire, car le trottoir ouest sera supprimé pour créer une quatrième voie de circulation routière sur le pont.
Cette obligation de traverser vaut également pour les cyclistes afin de rejoindre la piste cyclable bidirectionnelle jumelée au trottoir établie sur le côté Est du pont.
Comment feront-ils pour traverser en sécurité ce gigantesque nœud routier ?
Et que dire des vélos cargos notamment ceux des parents qui transportent jusqu’à deux jeunes enfants… devront-ils renoncer au vélo-cargo et reprendre leur voiture pour une question de sécurité ?

Le scénario 2-Feux a été dévoilé lors de la réunion publique d’information du 3 octobre 2023, mais sa présentation a été brève, car les services de la ville ont accordé la priorité au scénario déjà connu 1-Giratoire qu’ils défendent depuis le départ.
Ce scénario 2 qui repose sur la transformation du rond-point Nord en carrefour à feux avec le maintien du tourne-à-gauche sur le pont, paraît manquer de cohérence globale. Il n’a manifestement pas été conçu comme une alternative aboutie et crédible au scénario 1, mais plutôt comme son faire-valoir.

D’autres scénarios existent pourtant à partir du plan de circulation actuel mieux à même de concilier cadre de vie et mobilités douces, mais ne semblent pas encore avoir été envisagés
Le plan de circulation actuel pourrait être amélioré sur certains points localisés dans un scénario mixant les avantages du système actuel (les ronds-points et le tourne-à-gauche) avec certaines dispositions intéressantes du projet de la ville (la différenciation des sorties 30a et 30b délestant le giratoire Sud, par exemple).
Avec un peu d’ambition, pourquoi ne pas envisager aussi la création d’une passerelle dédiée aux modes actifs à côté du pont enjambant l’A8, à l’instar de la passerelle actée en 2023 par le Département dans le projet de reconstruction du pont sur l’Arc ?
Sachant que la passerelle sur l’Arc, d’une portée de 40m, a été budgétée 920.000€, on peut en déduire qu’une passerelle sur l’A8 d’une portée 70m coûterait environ 1.610.000€, enveloppe à majorer des aléas et imprévus, soit un budget contenu dans une enveloppe de 2 millions d’€… possiblement finançable à iso budget par les économies de requalification inutile des voiries du giratoire Nord.
Une telle passerelle permettrait de libérer de l’espace sur le tablier du pont routier pour agencer les voies de circulation avec moins de contraintes tout en conservant un trottoir côté Est et même en ménageant une ou deux bandes cyclables pour le « vélotaf », à la satisfaction générale, dans un projet résolument tourné vers le développement durable et la préservation de l’environnement.

Sur ce dossier, nos 3 CIQ demandent instamment à la ville, avant tout nouveau développement, l’ouverture d’une vraie concertation avec nos trois CIQ et les autres acteurs associatifs impliqués pour refondre ce projet dans une optique de développement durable et avec l’ambition de recoudre le quartier du Pont de l’Arc et d’en faire une belle entrée de ville apaisée emportant l’adhésion de la population.

(article dans le quotidien La Provence « Au Pont de l’Arc,il n’y a pas que le trafic qui sature, les riverains aussi » )

Dernière minute : Création d’un parking de covoiturage
Dans la boucle arborée de la sortie 30b, la société Escota va construire un parking de covoiturage d’une capacité de 30 places. Le permis d’aménagement a été accordé par les services de l’urbanisme 11/10/2023.
Nous y voyons deux inconvénients majeurs :
1. Dans notre quartier de plus en plus déficitaire en espaces arborés, suppression d’une quinzaine d’arbres adultes, remplacés par huit arbres « de haute tige » qui mettront 30 ans avant de les équivaloir.
2. L’unique sortie du parking obligera systématiquement tous les véhicules à remonter et faire le tour du rond-point de la 4ème R.A. Ici encore, création d’un flux supplémentaire intempestif.


ÉCHANGEUR A8-A51 / PROJET DE BRETELLE A8 OUEST->A51 NORD

Ce projet, géré par Vinci Autoroutes, vise à compléter le nœud autoroutier A8/A51 déjà existant dans le sens Gap/Lyon en créant une liaison Lyon/Gap. Il est prévu que cette “bretelle” se matérialise par un long viaduc aérien, avec 4 ponts et des remblais massifs, situé au niveau du signal V de la fondation Vasarely, bordé de part et d’autre par les quartiers Pigonnet Beauvalle et Encagnane.

La Fédération des CIQ considère que ce projet financièrement très coûteux n’améliore les conditions de circulation sur les voiries locales que pour une petite partie du trafic du flux de sortie de l’A8 Ouest vers l’A51 Nord avec un faible gain de temps, sans apporter de solution pour les flux des deux autres bretelles manquantes de cet échangeur, qu’il aggrave les nuisances de toute nature subies par les quartiers Pigonnet Beauvalle et Encagnane déjà sur-pollués et qu’il constitue une atteinte disproportionnée à nos paysages.

Nos 3 CIQ partagent la position de la Fédération des CIQ et souhaitent que ce projet non justifié et coûteux soit abandonné en l’état actuel ou reformulé de façon moins impactante pour le secteur concerné. À moins que l’on nous présente des chiffres plus conséquents qui justifient l’utilité de ce projet.


PROJET DE LIAISON ENTRE LA D8 ET LA D9 DITE ROUTE DE LA FÉLICITÉ

Projet de raccordement entre la D8 et la D9 dite route de la Félicité, qui raccorderait ces deux axes ; de l’HPP à la route des Milles au niveau de la Grassie.
Ce projet de route de raccordement entre la D8 et la D9 qui figurait déjà dans le PLU (Plan local d’urbanisme) de 2015 devait être réalisé en même temps que la construction de HPP (Hôpital Privé de Provence), livré en 2019. Fin 2023, malgré des relances répétées et les promesses de la ville, cette route qui figure désormais dans le projet de PLUi (Plan local d’urbanisme intercommunal OAP_AIX_06) n’a toujours pas vu le jour alors que les embouteillages ne cessent de croître au niveau du pont de l’Arc, par lequel transitent notamment les accès à l’hôpital. Cette route de la Félicité permettrait d’absorber une partie de ce trafic, tout en offrant un nouvel itinéraire, notamment aux habitants du quartier du Pigonnet Beauvalle et à ceux de la Constance demain pour rejoindre la RD8 sans passer par le Pont de l’Arc. C’est actuellement la seule solution envisageable à court terme pour réduire les embouteillages de plus en plus importants et pénalisants de l’avenue Ferrini.


BERGES DE L’ARC / PROLONGEMENT DU PARC NATUREL URBAIN

Le petit fleuve côtier de l’Arc qui traverse le sud du territoire de la ville d’est en ouest sur près de 20 km n’est accessible aux promeneurs que sur un tronçon d’environ 5 km entre le pont des 3 Sautets (qui n’y est pas inclus) et le pont de l’Arc. Nos 3 CIQ souhaitent que cette promenade de l’Arc soit prolongée à travers le quartier de la Beauvalle jusqu’aux Milles avec un aménagement rustique de ses berges, respectueux de son écosystème.

Cet aménagement des rives de l’Arc apporterait non seulement un grand bénéfice aux habitants et usagers du quartier, notamment ceux du CIQ Pigonnet Beauvalle et des Facultés qui n’ont pas d’espaces verts dignes de ce nom sur leur périmètre, en leur offrant un espace de vie et de convivialité où se promener et pratiquer des activités de loisirs. Il permettrait également, étant dans la continuité de l’actuelle promenade de l’Arc, de relier entre eux les quartiers sud de la ville traversés par le fleuve par de nouveaux cheminements piétons et cyclistes, ces derniers pouvant être rattachés également à la promenade de la Torse, affluent de l’Arc, qui traverse la ville du nord au sud et au Parc naturel urbain, créant ainsi un nouveau maillage le long des cours d’eau et des espaces arborés de la ville. Cet aménagement des rives de l’Arc est nécessaire pour transformer et équilibrer l’ambiance du secteur sud de la ville, en lui donnant un espace de verdure et de calme nécessaire pour contrebalancer les structures autoroutières et circulation intense.

Notre élu de quartier nous assure que c’est bien la volonté de longue date de la ville de procéder à un prolongement de cette promenade par le biais d’emplacements réservés le long des berges de l’Arc. Cependant, dans le projet de PLUi, il n’est pas fait mention d’aménagement des rives de l’Arc dans les projets d’OAP (Opération d’aménagement et de programmation) de la ville et celui concernant plus spécifiquement le quartier de la Beauvalle qui figurait dans le PLU de 2015 a été abandonné.


EN RÉSUMÉ

Nos 3 CIQ se regroupent pour demander que les projets de modernisation et de transformation du quartier du Pont de l’Arc prennent en compte les demandes légitimes de la population de profiter de ces investissements et aménagements pour recoudre le Quartier du pont de l’Arc dans le cadre d’une réelle concertation :
• faciliter les liaisons entre le nord et le sud de l’autoroute pour que les habitants puissent se rendre facilement et en sécurité dans les commerces du pont de l’Arc ;
• réduire au minimum le transit automobile dans le quartier qui ne doit pas devenir un échangeur autoroutier ;
• développer la place donnée à la nature, en général et à l’Arc en particulier, avec des cheminements piétons et vélos continus et sécurisés et davantage de transports en commun ;
• favoriser une centralité de quartier avec un cœur de quartier arboré, vivant et accessible pour tous (jeunes et moins jeunes) ;
• arrêter le saccage des arbres du quartier avec les programmes de promotions immobilières ou bien le projet de parking d’Escota que nous avons découvert au hasard d’une promenade et qui conduira à des nouveaux problèmes d’accès et du surplus de circulation.


ANNEXE

Le quartier administratif du Pont de l’Arc, en bref

• Une centralité de quartier située historiquement au début de l’avenue Fortuné Ferrini, concentrant les services (mairie annexe, poste, commerces, etc.) en plein développement mais dégradée notamment par le tout voiture, appelant à repenser et privilégier les modes actifs de déplacement (piétons, vélos) dans la vision de la ville du quart d’heure. Environ 12 500 habitants, selon les chiffres transmis par la ville lors du conseil de quartier de décembre 2022.
• Une urbanisation ancienne pavillonnaire pour la partie Facultés et Pigonnet, plus diffuse avec des terrains agricoles pour la partie Pont de l’Arc et surtout Beauvalle, le long du fleuve de l’Arc, bouleversée à partir de la fin des années 1960 par la création des autoroutes A8 et A51 et un fort développement de l’urbanisation dans les PLU (Plans locaux d’urbanisme) successifs et désormais bientôt le PLUi (Plan local d’urbanisme intercommunal), avec de projets d’immeubles et de grands ensembles, l’Hôpital Privé de Provence, l’extension du campus, la refonte du plan de circulation, etc. Risques accrus d’asphyxie et de thrombose du quartier, déjà bien visibles avec de nombreux embouteillages. Souci de nos 3 CIQ de préserver l’environnement et de développer les espaces verts, le cadre historique, la vie de quartier, tout en conciliant le développement urbain.
• Des grands axes qui divisent le quartier et posent des problèmes d’accès et de franchissement avec notamment l’autoroute A8. Volonté de nos 3 CIQ de recoudre le quartier au lieu de le diviser davantage, comme ce serait le cas avec le projet de requalification du rond-point de la 4e région aérienne en échangeur autoroutier, envisagé par la ville.
• Un campus universitaire s’étendant désormais de part et d’autre de l’Arc et de l’A8 ainsi que des écoles privées et groupes scolaires majeurs ayant un rayonnement au delà de la ville (La Nativité, bientôt le campus privé Ynov, et d’autres…) qui induisent des problématiques de logement pour les étudiants, de mobilité, de transports en commun, de stationnement, de services spécifiques qu’on ne retrouve pas ailleurs dans Aix. Population étudiante dans le quartier, mal recensée, de l’aveu même de la ville, mais estimée entre 3 100 et 3 700.


Cet article a été co-écrit par des représentants de nos trois CIQ :
Pont de l’Arc, Pigonnet-Beauvalle et Facultés